Florambre présente son nouveau travail autour du féminin onirique : « Deus ex Fémina ».
Venez prendre un verre au vernissage qui aura lieu le 20 juin à partir de 19h30 au Landy Sauvage.
L’exposition restera visible jusqu’au 30 juin inclus.
Florambre, c’est qui, c’est quoi ?
Née à Toulouse, elle s’intéresse très tôt à l’art et en particulier au dessin. Ayant pour modèles des bandes dessinées aux univers décalés telles que celles de Manara, Enki Bilal, Moebius ou Crumb, elle commence à dessiner en autodidacte dès l’âge de cinq ans et participe à quelques salons de la bande dessinée. Travaillant principalement à l’encre de chine ou l’encre colorée, ses thèmes favoris restent l’enfance, le rêve, l’ésotérisme et le féminisme. Elle puise son inspiration dans les art japonais, érotiques et underground.
Avec « Deus ex Femina », Florambre mélange les émotions allant de l’amusement enfantin au regard coquin et bienveillant sur l’épanouissement sexuel des femmes. Sans pour autant vouloir y délivrer un quelconque message moralisateur, le but est de vous faire voyager à travers son univers à cheval sur vos propres interprétations et sensations.
Si vous voulez avoir un aperçu du travail de Florambre sur son Instagram, son site (pas mis à jour) ou sa page Facebook
NB : Bien que l’exposition ne soit pas pornographique ou violente, certains tableaux comportent des images à caractère sexuel.